« Je n’ai parlé que de la promenade dans les villes, je n’ai rien dit de ces remarquables univers de transition, d’entre-deux : les faubourgs, les environs, les banlieues avec leurs espaces laissés vacants, leurs alignements de maisons qui s’interrompent soudain, leurs remises, leurs campements, leurs voies ferrées et les fêtes des cabanes dans les jardins ouvriers. Cependant on touche à la limite qui nous sépare de la campagne et du voyage. Et le voyage est un tout autre chapitre de l’école du plaisir. » Page 22
Flâneries parisiennes, Franz Hessel, Paris, Payot-Rivages poche / petite bibliothèque, 2013, 140p.